Optimisation fiscale

Planification successorale : Organiser la transmission du patrimoine de manière à réduire les droits de succession et minimiser les impôts associés à la transmission des actifs à la génération suivante.

Investissements fiscalement avantageux : Sélectionner des investissements qui offrent des avantages fiscaux, tels que des crédits d’impôt, des exemptions fiscales, ou des incitations spécifiques, en fonction de la juridiction fiscale.

Utilisation des régimes d’épargne défiscalisés : Profiter des régimes d’épargne et d’investissement qui offrent des avantages fiscaux, tels que les comptes d’épargne-retraite, les comptes d’épargne libre d’impôt (CELI), ou les plans d’épargne-études.

Optimisation des déductions et crédits d’impôt : Maximiser l’utilisation des déductions fiscales disponibles, comme les frais médicaux, les frais de scolarité, les dons de bienfaisance, etc.

Choix de la structure juridique : Pour les entreprises, choisir la structure juridique la plus avantageuse sur le plan fiscal, comme une société par actions, une entreprise individuelle ou une société de personnes.

Gestion des pertes fiscales : Optimiser l’utilisation des pertes fiscales en les reportant sur les années futures pour compenser les gains futurs et réduire ainsi l’impôt à payer.

Fractionnement du revenu : Pour les familles, répartir le revenu entre les membres de la famille ayant des taux d’imposition différents pour réduire globalement la charge fiscale.

Diversification des actifs : Répartir les actifs de manière à profiter des taux d’imposition différents sur différents types de revenus (revenu d’intérêt, gains en capital, revenu de dividendes).

Gestion proactive des déclarations fiscales : Surveiller les changements dans la législation fiscale et ajuster les stratégies en conséquence pour rester en conformité et maximiser les avantages fiscaux.